Le secret pour progresser au quotidien en musique électronique

Ces 6 derniers mois j’ai plus progressé que les 4 années précédentes en production de musique électronique.

J’ai également produit plus de musiques que dans toutes les années précédents.

Je n’ai pourtant pas eu plus de temps qu’avant. En réalité j’ai ai même eu beaucoup moins qu’avant.

J’ai simplement découvert ce qui me manquait depuis si longtemps pour vraiment progresser efficacement …

headphones GIF by Spinnin' Records

Vous trouverez sur internet de très nombreuses ressources du type « Tutoriel pour faire ceci », « 5 astuces pour faire cela », … mais ce n’est pas très efficace pour progresser.

C’est bien gentil de nous donner ces informations, mais encore faut-il savoir identifier le tutoriel dont j’ai le plus besoin, ou encore sélectionner laquelle de ces 5 astuces je ferais mieux d’utiliser concrètement ! Et ça, les auteurs de ces articles le font rarement…

Je trouvais difficilement des méthodes pour m’expliquer comment sélectionner mes actions au quotidien. Je trouvais encore moins des explications sur comment se motiver suffisamment longtemps pour réellement progresser.

Il m’arrivait alors très vite de me perdre dans mes actions sans savoir où aller, de ne plus vraiment avancer, de me démotiver, de laisser la musique de côté quelques mois …

A chaque fois l’envie de créer ma musique revenait et je reprenais en me demandant pourquoi je m’étais arrêté une fois de plus … et le cycle recommençait !

Malgré ma motivation j’avais l’impression de stagner, et je commençais à me demander si j’étais réellement fait pour faire de la musique.

image comics GIF

En réalité, mon problème était que je n’avais pas encore compris l’attitude à adopter pour devenir bon dans un domaine.

Je suivais simplement mon instinct et mes envies mais je n’avais pas de vraie stratégie ni plan d’action pour progresser.

Il m’arrivait des périodes de progression, mais aussi des périodes de stagnation, des périodes ultra productives et des périodes de démotivation totale … sans que je comprenne vraiment pourquoi.

Jusqu’à ce que je découvre enfin comment faire pour m’assurer de progresser efficacement !

Les 5 principes de la progression

Je vais dans cet article vous présenter 5 principes qui m’ont énormément aidé à progresser ces derniers temps. Je vous expliquerai également comment les appliquer.

Non, ce n’est une liste théorique de plus. Il s’agit de 5 principes qui se complètent et pas simplement d’une liste de 5 manières de faire la même chose.

Mon but dans cet article est de vous expliquer concrètement comment faire pour appliquer ma méthode au quotidien. Avant cela il faut commencer par comprendre quelque bases qui expliquent pourquoi cela fonctionne.

J’ai également rédigé un résumé du contenu de cet article au format PDF, qui présente de manière simple et visuelle les principes que j’explique.

Vous pouvez donc lire l’article sans prise de tête, il est là pour vous expliquer ma vision des choses. Vous pourrez ensuite télécharger le résumé et le consulter au besoin pour appliquer la méthode.

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Allez on commence !

1 – Comment devenir bon dans un domaine

Trois facteurs influencent votre niveau dans un domaine :

  • Vos gènes, qui fixent les limites de vos compétences
  • Le temps passé à s’entraîner
  • La manière dont vous vous êtes entraîné

Vous remarquerez que je n’ai pas listé le « talent »… simplement parce que tout cela n’a rien à voir avec le talent. Ce qu’on appelle « talent » c’est bien souvent le résultat visible des compétences acquises dans le passé.

Au niveau des gènes, on supposera que vous n’avez pas de limite particulière. Si vous comptez devenir n°1 mondial et marquer l’histoire de la musique pour les prochains siècles ça peut sûrement avoir son importance. Sinon, des capacités normales devraient vous permettre d’avoir un bon niveau en musique. C’est d’ailleurs le seul facteur que vous ne contrôlez pas et donc le seul auquel il n’est pas nécessaire de faire attention.

Au niveau du temps passé, un principe que l’on retrouve systématiquement est la règle des 10000 heures. Les personnes qui deviennent expertes de niveau mondial dans un domaine où les compétences sont connues et définies (c’est le cas de la musique) ont généralement dépassé 10 000 heures de pratique. Cela correspond à 13 ans de pratique au rythme de 2h par jour.

Devenir un expert
Une manière de représenter votre progression

Rassurez-vous, devenir bon, voir très bon, arrivera bien avant les 10 000 heures. Dans tous les cas ce que l’on peut en retenir c’est qu’il va falloir passer pas mal de temps avant de devenir bon. C’est donc une erreur de se décourager trop vite.

Cette vision risque de ne pas plaire à tous ceux qui cherchaient un raccourci, une astuce rapide et facile pour réussir sans efforts… mais malheureusement, comme partout, il faudra un minimum d’efforts pour arriver a de bons résultats.

Ce que j’explique dans cet article vous permettra par contre de rendre vos efforts plus efficaces !

Vous vous en doutiez, s’il suffisait de passer du temps pour devenir bon en musique ce serait trop facile … en fait il faut certes y passer beaucoup de temps, mais ce qui compte c’est aussi et surtout la manière dont on passe ce temps !

Je vais donc maintenant vous présenter le Monter Truck de la progression !

Il s’agit d’une manière simple et imagée de représenter tout ce qu’il y a à savoir pour s’assurer d’avancer sereinement le long de la voie de la progression en musique électronique !

Le monter truck de la progression
Le Monster Truck de la progression

Commençons par analyser la carrosserie de notre Monster Truck, afin de comprendre ce qui lui donne une fondation stable, ce qui le rend aussi solide pour tenir le coup le long de la longue route de la progression…

Fondation monster truck de la progression
La carrosserie du Monster Truck de la progression

En zoomant un peu on aperçoit un détail intéressant :

La fondation d’une progression solide

Eh oui, au temps passé à s’entraîner s’ajoute un facteur très important : l’immersion dans son projet. Cela passe par :

  • la régularité : faire de la musique tous le jours par exemple. Pour rendre cela plus réaliste à tenir on pourrait réduire à « 4 ou 5 fois par semaine avec une semaine de pause de temps en temps » par exemple.
  • la « discipline » : la capacité à tenir ce rythme sur le long terme, et à ne pas faire d’exception à la moindre excuse. Cela peut arriver bien sûr mais si cela ne reste pas une exception, l’abandon n’est jamais très loin.

La régularité et la persévérance sont en réalité plus importantes que la durée des sessions d’entraînement à la musique.

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On peut être tenté de progresser à coup de grosses sessions le week end, quand on a plus de temps … mais ce sera moins efficace car on ne sera pas immergé dans l’activité : à chaque session il faudra se remémorer où on en est, se rappeler comment faire telle ou telle action, la mémorisation sera plus longue …

C’est exactement comme pour le sport : une session de 30 minutes tous les jours fait plus progresser qu’une session de 3h30 une fois par semaine, bien que cela fasse la même durée totale !

Maintenant que nous nous sommes intéressés à la répartition du temps passé à progresser en musique, il est temps de s’intéresser à quoi faire pendant ce temps.

2 – La pratique délibérée

La pratique délibérée est le fait de consciemment choisir comment utiliser son temps de pratique, en concentrant toujours ses efforts sur un point précis à la fois, destiné à faire progresser.

C’est ce qui va permettre d’avancer, et par analogie on peut considérer que c’est le moteur de notre Monster Truck de la progression.

Moteur du monster truck de la progression
Le moteur de la progression

On identifie ainsi un cycle en trois phases qui va se répéter tout au long de votre progression :

  • Estimer son niveau et ses besoins de progression
  • Identifier et analyser les compétences à maîtriser
  • Prioriser les compétences à développer, et chercher volontairement à s’entraîner pour progresser, une compétence à la fois.

Afin d’avoir une idée des différentes compétences qu’il va falloir développer de cette manière, voici la liste de compétences nécessaires pour produire une musique électronique :

(plus ou moins classées par ordre de priorité d’apprentissage)

Les compétences en MAO, par ordre d’apprentissage

Pour rendre cet apprentissage plus agréable, apprendre par la pratique, et mieux comprendre comment toutes ces notions interagissent entre elles, il est en fait plus intéressant de progresser par étapes. La progression ressemble en réalité plutôt à ça :

Progression par paliers en MAO

En fait, cela correspond à :

  • Commencer à acquérir une des compétences à un niveau basique.
  • Faire ainsi avec toutes les compétences nécessaires jusqu’à créer un morceau complet de niveau basique, le publier et promouvoir de manière basique.
  • Recommencer le cycle complet en passant successivement à un niveau supérieur sur chacune des compétences tout en composant des morceau complets de niveau de plus en plus élevé.
  • Au fur et à mesure de cette progression par palier apparaîtront des points de force sur lesquels il ne sera plus nécessaire de faire des efforts, et des points faibles sur lesquels il faudra se concentrer en priorité.

Une bonne pratique peut être par exemple de réfléchir en début de semaine à la compétence que l’on souhaite développer, et consacrer ses efforts de la semaine (ou plusieurs semaines si on choisit un rythme plus lent) sur ce point. Cela peut passer par exemple par :

  • Faire des recherches et consulter des ressources sur un point de blocage fréquent
  • S’entraîner à appliquer ce qu’on a appris sur un morceau en cours de production

(Pour cela vous pouvez aller lire cet article dans lequel j’ai déjà sélectionné les ressources que je recommande pour chacune des compétences listées. Cela vous évitera tout le travail de recherche et de sélection de ressources et vous fera gagner du temps).

Si vous prenez des cours de musique avec un prof, il vous fera exactement suivre le processus que je viens de décrire : selon ce qu’il juge être nécessaire pour vous, il vous donnera chaque semaine des exercices se concentrant sur un point particulier pour vous faire progresser.

Si vous avez compris cette dynamique, vous pouvez reproduire le même processus par vous-même !

3 – Adopter une mentalité de progression

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La mentalité de progression c’est le fait de comprendre qu’il veut mieux devenir 1% meilleur chaque jour que d’essayer de progresser d’un coup. C’est également le fait de se concentrer sur sa propre progression plus que sur la comparaison aux autres ou à votre objectif final.

Si vous vous comparez sans cesse aux autres, vous trouverez toujours des gens plus forts que vous, des gens qui progressent plus vite.

Si vous vous comparez sans cesse à votre objectif (disons par exemple « organiser un concert dans lequel les gens viennent écouter mes propres musiques », mais ça pourrait être n’importe quoi d’autre), il est probable que plus vous progressez vers cet objectif, plus vous vous rendiez compte que le chemin à parcourir est long et difficile.

Dans les deux, c’est démotivant.

Si au contraire vous vous concentrez uniquement sur votre propre progression, en faisant en sorte que votre « moi du présent » continue à toujours devenir meilleur que votre « moi du passé »… alors semaine après semaine, quoi qu’il se passe dans le monde extérieur et quelle que soit votre vitesse de progression, vous continuez à avancer, à progresser, et vous vous rapprochez de votre objectif !

arrow satisfying GIF

Concrètement cela se traduit par la mise en place d’un système de suivi, qui, par analogie, constitue le la roue permettant d’avancer de notre Monster Truck de la progression :

La roue de la progression en MAO
La roue de la progression

Cela se traduit par :

  • Avoir un carnet (ou n’importe quel type de document) dans lequel, en début de semaine, on note son point de focus de la semaine et son mini objectif associé.
  • En chaque fin de semaine on fait le bilan : on marque si ce mini objectif et atteint, et si non, pourquoi (le but n’et pas de culpabiliser mais bien de voir comment faire mieux dans le futur).

Cela permet de créer un cycle de suivi de sa progression, que l’on peut consulter en moment de doute pour se remotiver en voyant la progression passée. Si toutes les semaine vous essayez de progresser sur un point, pas à pas, vous vous assurez de toujours continuer à avancer et progresser !

Comme le résume très bien ce proverbe Italien : « Chi va piano va sano e va lontano » (qui va lentement va sûrement et va loin).

4 – Se motiver : Ne pas casser la chaîne

chain GIF by James Thacher

« Facile à dire, mais en pratique ça ne marche jamais les bonnes résolutions comme tu l’as décris plus haut » 

Oui vous avez raison … mais attendez, il y a des méthodes très efficaces pour se motiver !

Il est difficile de changer ses habitudes. Notre cerveau a la fâcheuse tendance de chercher la simplicité au quotidien et à nous pousser à faire le moins d’efforts possible en restant dans notre zone de confort.

Quand on cherche à prendre une nouvelle habitude, à la moindre difficulté rencontrée, même pour des raisons qui n’ont rien à voir avec cette habitude (fatigue, flemme, échec, …) notre cerveau se repliera sur ses anciennes habitudes…

Il y a cependant une solution à ce problème : 

  • créer artificiellement une perte si on arrête cette habitude
  • créer une source de satisfaction si elle continue.

Un attachement émotionnel à l’habitude se créé alors et il devient plus facile de la suivre.

(C’est ce qu’utilisent les jeux vidéo sur téléphone par exemple, généralement via des systèmes de récompense qui valorisent ceux qui l’ouvrent régulièrement mais sans forcément jouer longtemps à chaque fois).

Si on utilise cette technique, alors la très grande majorités des habitudes finiront comme les bonnes résolutions de début d’année : oubliées jusqu’à l’année suivante.

Une méthode simple pour créer cet attachement est de créer des chaînes d’habitudes sur un calendrier.

Chaîne d'habitude sur un calendrier

Cela fonctionne de la manière suivante :

  • Choisir une durée sur laquelle se fixer des mini objectifs.
    • J’ai personnellement opté pour une semaine, mais choisir une période un peu plus longue (deux semaines) est tout aussi valable.
  • Choisir une fréquence à laquelle faire de la musique durant cette période. L’objectif est de se forcer à être régulier ainsi que de faire des session suffisamment courtes pour être capable de tenir le rythme sur le long terme mais suffisamment longues pour progresser.
    • J’ai opté pour m’engager à faire des sessions de minimum 50 minutes, au minimum 5 jours par semaine.
      • Ça a l’avantage d’être suffisement flexible pour facilement pouvoir être adapté à mon emploi du temps et mes contraintes et ne pas demander de changer radicalement mon mode de vie et mes autres habitudes.
      • Cela peut sembler contre intuitif car on a généralement l’impression qu’il vaut mieux attendre d’être « inspiré » pour composer de la musique. En réalité, avoir de l’inspiration ça s’entraîne, et travailler avec une pression temporelle est un très bon stimulateur d’inspiration (si, si, je vous assure).
  • A chaque session, cocher une case dans son calendrier, et s’assurer de ne pas casser la chaîne d’habitude, en la tenant le plus longtemps possible

Il est possible de le faire sur un calendrier physique, mais je vous conseille de passer par une appli de prise d’habitude, qui est beaucoup plus visuelle et simple à utiliser.

Pour faire une analogie, il s’agit de la boite à outil du Monster truck de la progression. C’est elle qui vous permettra d’entretenir votre motivation et de vous assurer de continuer à avancer sur le long terme le long du chemin de la progression.

Boite à outils de la progression
La chaîne d’habitude est votre boite à outil pour assurer votre progression en MAO

J’utilise personnellement l’appli de prise d’habitude Habit Hub, disponible pour Android et IOs. En version gratuite elle vous permet de tracker 5 habitudes, ce qui est largement suffisant pour nos besoins. Je conseille de l’utiliser de la manière suivante :

  • Créer une chaîne d’habitude flexible à réaliser X fois par semaine (5 dans mon cas) quand vous avez effectué une séance de musique d’au moins une certaine durée (j’ai personnellement choisi 50 minutes).
    • J’ai appelé cette chaîne « Musique : 50 minutes 5 fois par semaine ».
  • Créer une chaîne d’habitude flexible à valider une fois par semaine si votre objectif de la semaine est atteint.
    • J’ai appelé cette chaîne « Atteinte objectif musique de la semaine ».

Mon écran de suivi d’habitudes ressemble donc à ça (j’ai aussi d’autres habitudes mais sur des sujet totalement différents) : 

Les cercles verts marquent les jours de la semaine pour lesquels j’ai validé la réalisation de l’habitude définie.

L’avantage est que l’appli fait un graphe de prise d’habitude, dans l’onglet « Graphs » :

L’idée est de faire monter sa courbe d’habitude le plus haut possible. Si on n’effectue pas ses objectifs de la semaine, la courbe retombe à zéro.

Prendre et suivre une habitude devient en quelque sorte un jeu, sauf qu’il a un impact positif sur votre vie réelle et vos résultats!

On voit sur le graphe d’atteinte d’objectifs que je n’ai pas atteint mes objectifs de la semaine pendant un moment … ce qui était lié au fait que je m’intéressait à des compétences nouvelles pour moi (le Mastering). J’ai donc eu du mal a me donner des objectifs réalistes. Ça arrive, ce n’est pas grave. L’important et de repartir sur une nouvelle chaîne.

Quand une habitude arrive à 100% et au delà, c’est généralement que l’on a assez répété celle-ci pour qu’elle devienne un automatisme, et qu’on ressente l’envie de la suivre au quotidien sans avoir besoin de se forcer.

Bien sûr l’objectif est de continuer à utiliser l’appli et construire des chaînes d’habitudes le plus longtemps possible, bien au delà de l’atteinte de la prise d’habitude à 100%.

C’est exactement comme avec le sport : il est difficile de commencer et de se motiver au début, mais au bout d’un moment si on tient le rythme, continuer devient naturel et se ressent même comme un besoin.


5 – Se motiver : Tirer parti de la pression sociale

emperor penguin walking GIF by Nat Geo Wild

Ce système de chaîne d’habitude marche bien, mais quand on s’engage uniquement auprès de sois-même, on finit toujours par faire quelques exceptions de temps en temps … qui peuvent se traduire rapidement pas des exceptions la majorité du temps, voir par un abandon temporaire des habitudes.

Un autre très bon moyen pour se motiver sur le long terme est de s’engager auprès d’autres personnes.

C’est ce qui se passe quand on prend un cours. On voit un prof toutes les semaines et il nous donne des exercices à faire pour la semaine suivante. On ne veut pas le décevoir : Rien que le fait de s’imaginer venir la semaine suivante sans avoir rien fait est désagréable … et pousse à passer à l’action et à s’entraîner ! C’est une des raisons pour lesquelles les cours font progresser.

Sauf que … souvent les cours coûtent cher, demandent de se déplacer physiquement, et donc prennent beaucoup de temps.

Mais si vous savez :

  • Identifier vous même les axes à travailler pour progresser
  • Vous donner des objectifs régulier
  • Vous engager auprès d’autres personnes à les tenir

Alors vous pouvez obtenir les même effets liés à la pression sociale qu’en prenant des cours de musique. Vous pouvez même faire mieux en transformant la pratique de la musique en une activité sociale !

Vous pouvez simplement vous engager auprès de membres de votre famille ou d’amis. S’engager à produire des résultats avec des gens qui font également de la musique est encore mieux.

Si vous n’avez pas d’amis qui font de la musique électronique, vous pouvez tenter d’en motiver certains, ou vous pouvez tenter de rencontrer de nouvelles personnes qui en font :

  • en participant à des évènements (ex : sur Meetup) sur la thématique de la musique électronique
  • en participant sur des forums liés à la musique (ex : Easyzic)
  • en rejoignant des groupes facebook dans cette thématique

C’est le dernier élément qui manquait à notre Monster Truck de la progression : le groupe de potes qui permet de bénéficier positivement de la pression sociale et de rendre la parcours sur la route de la progression plus fun et social.

Tous les éléments de la progression au quotidien en MAO
Faire de la MAO à plusieurs : un bon moyen de se motiver

Si vous avez apprécié cet article je vous ai préparé un résumé qui vous permettra de vous rappeler de manière simple et visuelle de tous les conseils qui y sont donnés :

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